Clotilde Courau nous livre un récit intime à travers la correspondance inédite de Piaf.
Un dialogue inspiré entre les mots et la musique grâce à l’accompagnement de l’accordéoniste virtuose Lionel Suarez.
Ensemble, ils restituent avec délicatesse et sincérité les tourments intimes d’Edith Piaf. Sans jamais chercher à l’imiter, Clotilde Courau lui prête ses yeux, ses mains, son sourire, sa voix tandis que la musique complice de Lionel Suarez épouse merveilleusement ses états d’âme.
À ce moment si particulier de son existence et malgré tous les drames vécues, Piaf garde une foi intacte en la vie et un désir d’amour plus fort que tout. Son grand ami Cocteau disait d’elle “je n’ai jamais connu d’être moins économe de son âme. Elle ne la dépensait pas, elle la prodiguait, elle en jetait l’or par les fenêtres”.